Vin
« Jo ! T’es encore bourré ! Belle outre à vin »
Jo arrivait titubant, plaisir d’ivrogne
« T’étais avec ces ratons sous l’arbre à vingt
Je vous ai comptés. Je t’y ai vu » Joy grogne
« Ouais ma belllle. j’discutais avec mes potos
On côsait techhnnik de chasssse. J’suis pô bourrrré »
Disait il bien bourré. Jo aimait le dijo
Trouvé dans les fruits de l’arbre au sol sucré
Les petits ratons aimaient avoir l’envie
Des vapeurs d’éthyl inhibant les angoisses
De la vie passé à courir après la vie
Face à tous ces besoins, les enfants croissent
Joy, plus attentive goûtait aussi l’ivresse
Sous l’arbre aux fruits emplis d’oubli des douleurs
Présentes aux périodes enfanteresses
La Vie constructrice est toujours en douleur
Lier les créations, déchire les espaces
Une nouvelle vérités dans l’espace
Déjà remplit de Vie, repousse, fait place
Déchire les intérieurs vivants, vivaces
Les ratons n’ont pas la belle vie facile
De l’existant conscient amassant ses besoins
Chaque jour se rejoue la chanson puérile
D’avoir son existence contentés en soins
Stress, peurs, envie, faim, soif, fatiguent les êtres
Vivants leurs émotions dans une souffrance
Intérieur acceptée signe de pleine vie
Vivante toujours allant vers la vivance
Petits ratons vivent ses moments douloureux
Dans la conscience de la volonté suivre
Jo et ses amis à trouver les essentiels
Besoins de la vie existante pour survivre
Oublier les vie pénibles, goûter l’oubli
Dans l’instant de cette ivresse reposant
En souffrance d’une vie à courir remplie
Est compréhensible par tous les survivants
Les arbres aimés pour leurs douceurs de vivre
Sont connus, l’arche de noé s’y retrouve
Joyeusement, partageant ses instants ivres
Oubliant tout, même l’appétit ne s’ouvre
Quel mal a se faire du bien pour un repos
Instant de relâchement de tous les souffrants
Ratons, vers, éléphants, girafes, coq, Léo
Tous goûtent et aiment cet éthyl de l’offrant
Arbre de Vie, le bistrotier des savanes
Distille savamment ces graines pour les vies
Désireuses, confort d’avenir diaphane
Veille le lendemain du retour de la Vie
L’amour d’ivresse n’appartient pas à l’Homme
Les aïeux le savait, le goûtait, nous aussi
Toujours pour l’oubli des souffrances d’hommes
N’acceptent plus les douleurs vives de la Vie
Confort d’une vie remplie sans l’acceptation
Des douleurs poussant le survivant existant
Vie où chaque expériences Compréhension
Devient l’effort douloureux en soi des créant
La Vie déchire des vérités construites
Au plus profond de nous pour se reconstruire
Vérités abandonnées, places fortuites
Des compréhensions instruites à inscrire
L’Homme ne comprend plus la souffrance ceinte
Un pas d’évolution détruit des vérités
Installe des vérités aide l’enceinte
Et propage la Vie vers la Réalité
L’abus tue les excessifs en plaisirs de vie
L’ivresse oisive du confortable
Sans les douleurs du travail en soi de la Vie
Faisant oublier tous les inconfortables
Avoir mal, normal signe de vivacité
Résonne dans la psyché où l’acceptation
Des idées anormales d’une vérité
Devient création, douleur des intégrations
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Se dépasser fait mal
Briser une limite est douloureux
Ego, es tu capable d’accepter une telle agression de ta forteresse ?