Cru
Croire, Je crois, je croyais, je croirai, je crus
Ce verbe est à les en croire imparfait
Des uns et des autres, Croire devient très cru
Chacun conjugue sa croyance du parfait
Croire que le Juge de Paix croyant le croire
dit « Attacher une valeur de vérité »
Pourquoi aller chercher plus loin et le croire
Spécifique à quelques croyances citées
Merci Mr le Juge de combler les vers
D’autant il peut alimenter le camembert
De toutes les bouches et clapets à verre
Son bon goût goûte en exemple de Robert
Le judicieux frère double de Madame
La Rousse, fière de son savoir contenu
En lactation des bons nés perdus en Dame
Nature où la modestie revêt le nu
Hypocrite d’oublier les dessous partis
En goguette dans tous les sens du bon croire
Valorisant les fantasmes de ses parties
Les moins crédules l’estiment au mieux poire
Tenir en main ce croire de belle Dame
Nature encore, elle revigore le tout
Pour sublimer à genoux la grande âme
Où croire pousse à l‘élévation du grand Tout
C’est elle ou lui qui jugent leurs seuls bons plaisirs
A laisser s’introduire de tous ces sens gais
Hétéroclites, homogènes, à saisir
Fermement pour ce croire qui croit intrigué
Crois la nature de nos corps sachant croire
Sans réfléchir aux conséquences ingénues
L’assomption d’absorbation du vite croire
En l’érection au plan intérieur bien venu
Accepte ta vérité en Moi, belle âme
Tu en ressentiras le bienfait transcendant
L’Amour des belles vérités de la Dame
Nature toujours ouverte aux ascendants
Où va son croire en son corps divin de vie
Elle pousse l’intrant dans sa voie d’intérieur
Accepte sa vérité qui croit assouvie
Le besoin d’être rempli en soi du meilleur
Bergère, revenons aux moutons incroyants
Aux brebis trop croyantes, oubliant le vrai
Croire en chair ou en chaire, toujours croyants
Chacun à sa vérité, en soi toujours vraie
Croire est l’action où chaque sansonnette
Joue en soi, emporte l’idée sur son chemin
Déjà tracé en psyché, délit d’en-tête
Des lettres de mission inscrites des deux-mains
La voie du bon croire, l’art de la croyance
Quand aucune incroyance des incompris
En soi de ne vouloir de cette croyance
Sur âne, née au temps des crédules, appris
Croire mue par la volonté des vérités
Suit ton chemin vital durement recueillit
Par l’expérience, admettons nos vérités
Faisons compréhension d’un croire accueillit
L’idée de croire en nos idées croyantes
Suit ton chemin vital inscrit en croyance
Qui es tu ? Pourquoi ? Qui deviens tu ? Te hante
Dans l’acceptation des idées de croyance
La dénaturation des bons mots en action
Fait l’incompréhension d’actes toujours présent
Jusqu’au plus profond du sens d’individuation
Le corps ne se questionne et croit le présent
Nos vérités acceptées, inscrites en nous
Nos chemins où circulent l’Un, fluer croire
Fond la pensée se croyant en soi et renoue
La Croyance de la Vie, toujours y croire
Dame Nature nous construit en y croyant
La Vie est en nous, elle mue en volonté
D’énergie vivante, nous construit en ayant
Volonté de vivre porteur de sa bonté
Croire ne pas croire, croire l’incroyance
Absurde du non-sens d’un mot vivant en nous
Aveugle le chemin vrai de la brillance
L’esprit se connaît en soi. Bon gré, mal gré, noue
Croire les croyances sans le savoir-croire
Des pratiquants se croyant, pratique en croyants
D’influer les idées aux crédules devenus craie
Teint le tableau noir religieusement croyant
Se croire réfléchit est irréfléchi
La réflexion du sens croire oublie l’acte
Se faisant sa route de raison réfléchie
En soi, la croyance ne dément le pacte
L’esprit immatériel pousse toutes les idées
L’esprit matériel accueille toutes les idées
Bonne ! Nous as tu desservis ? mauvaise idée
Sers nous donc ton dessert pour finir
De croire croître le croire gagné en puissance
Merci à ma sainte, nourrie des rhizomes en chapelet des crosnes, ici cité un maître poète.
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