Alors, moi, j'ai un point de vue différent. Nul état n'est permanent ni stable. Quelqu'un peut très bien être athée, croire dur comme faire qu'il n'y a rien, et puis, paff ! Du jour au lendemain, il a une Révélation. Ou alors, ça vient petit à petit : des doutes sur sa non-foi, quoi. De même quelqu'un qui croit croire peut ne pas vraiment croire à ce en quoi il croit. Non ?
Oui Personnellement, je n'aime pas l'utilisation du mot "croire" auquel on donne un sens restrictif. Je dis souvent (et n'ai pas l'impression d'être bien compris)
Voilà ce qui me semble un démarche juste : 1° Écarter TOUT ce que l'on tient pour vrai par croyance.
J'essaie de trouver ce qui cloche dans ta phrase. A part le verbe "écarter", je ne trouve rien a redire. Put être que la différence se situe dans la profondeur du terme "croyance"
Babylon5 a écrit:
2° Une fois qu'on a peu ou prou réussi à tout balayer, se mettre en posture d'observateur neutre (autant que possible) 3° Voir ce qui en ressort.
Ca c'est vrai ... Ce qui me fait dire (en extrapolant un peu ...) On comprend intégralement ce que l'on vit intégralement.
Babylon5 a écrit:
- Un risque : c'est que, une fois écartées toutes les anciennes croyances, l'esprit s'en fabrique une nouvelle qu'il tient pou Vérité. Il pourrait donc sembler juste de dire "la réponse est dans la question".
Ce n'est pas un risque, c'est une fatalité. Nous ne pouvons pas vivre sans "croire" a qui nous sommes et ces idées percutent de pleine face les idées du "moi". Puisque l'importance que l'on se donne dans la vie est directement liée à ces idées justement.
Dernière édition par L'Olivier le Ven 10 Aoû - 17:59, édité 1 fois
Il pourrait donc sembler juste de dire "la réponse est dans la question".
Ca c'est une pure vérité. La question existe que parce que la réponse est déjà là. Seule la réponse peut faire naitre la réponse. Et non pas le contraire. Si on ne voit pas la réponse mais que la question, c'est juste un problème de vision. C'est qu'on ne voit pas ce qu'on doit voir.
Je ne comprends pas cette phrase. Ça "tourne en rond" comme phrase. Sinon, je suis bien d'accord, d'après mon expérience que si on fait faiblement le vide concernant les croyances, et qu'il ne reste PLUS RIEN : alors, c'est la folie.
Je ne comprends pas cette phrase. Ça "tourne en rond" comme phrase.
Crotte ... lapsus ... Seule la réponse peut faire naitre la question.
Babylon5 a écrit:
Sinon, je suis bien d'accord, d'après mon expérience que si on fait faiblement le vide concernant les croyances, et qu'il ne reste PLUS RIEN : alors, c'est la folie.
La Folie est de cesser de croire en les valeurs mises en place par le Système, l'Ordre établi. Sortir de la norme ...
Non, nous 'avons pas la même définition de la Folie, je crois. Je veux dire : ne plus croire en rien, peut conduire à la folie. On ne croit plus en soi-même. On a le sentiments de déréalité. Elle mène au suicide (brutal ou lent) Ce n'est pas la même Folie dont tu parles.
Non, nous 'avons pas la même définition de la Folie, je crois. Je veux dire : ne plus croire en rien, peut conduire à la folie. On ne croit plus en soi-même. On a le sentiments de déréalité. Elle mène au suicide (brutal ou lent) Ce n'est pas la même Folie dont tu parles.
Si je pense qu'on parle bien de la même Folie. par analogie, Quand tu avances sur une route, tu suis une ligne directrice déjà tracée. Si jamais des croisements se présentent alors des panneaux indicateurs ou une carte te permets de t'y retrouver. Tu n'es jamais perdue tant que tu as avec toi tes repères.
Si jamais, par hasard, tu sors de la route et que tu pars dans la terrae incognita. Aucune carte ne peut te guider puisqu'elle est inconnue. aucun panneaux n'est visible puisque tu es dans les premières a mettre les pied dans ce "monde" (et que donc, les panneaux, c'est toi qui les poses).
Pour les personnes effectuant cette démarche de "lacher" les repères et d'essayer d'aller découvrir ce monde de la psyché. Alors immanquablement, tu tombes dans la Folie. Celle où rien n'est balisé "normalement"
il y a ce qu'on ne peut plus croire, et ce qui reste inscrit dans l'expérience intérieure .
Et pour en revenir à la question de ce "théo" que les "a-thées" renient. Pour ma part, il y a belle lurette que mes "croyances" à son sujet ne sont plus celles qui m'ont été inculquées au catéchisme de mes jeunes années. Mais je suis toujours à l'écoute de ce radieux mystère qui hante mon "expérience intérieure".
Pour ma part,je me demande combien il y a d'athées"purs et durs",combien ne finissent pas par se tourner vers un culte,ou à se réfugier dans la prière en cas d'extrême angoisse,de grand danger,de peur-combien,à l'heure de la mort,ne se demandent pas si,en fin de compte,ils ne vont pas franchir la Porte d'un autre monde.Combien,en cette circonstance,ne retrouve pas spontanément les prières de leur enfance ou n'en inventent pas d'autres spontanément... Bien sûr il y en a,mais je ne suis pas sûre qu'ils soient une majorité lol!
Dans un moment d'extrême angoisse, on se tourne toujours vers "quelqu'un". C'est instinctif : c'est ce que fait le petit enfant en grande détresse ou en danger. Quand nous "grandissons" (je mets entre guillemets car en fait je pense que nous restons toujours des enfants), nous ne changeons pas. Mais nous avons bien que "papa" et "maman" ne sont plus là pour assurer notre sécurité. Il est alors naturel de se tourner vers un "Dieu" tout puissant, qui nous tirera de là. Moi-même, je suis athée, j'ai beau faire, je n'arrive pas à concevoir que nous sommes autre chose que le fruit du "hasard et de la nécessité". Pourtant, je ne suis pas sûre de ne pas me tourner vers un "Dieu", le jour où je serai en fin de course.
Oui le dieu en qui nous croyons est pour nous notre Père,notre protecteur,une source de réconfort vers qui nous nous tournons spontanément,mais il n'y a pas que cela:il y a la dévotion en plus,l'élan mystique même pour certains d'entre nous.Ca ne se commande pas,on ne peut ni se forcer à avoir cette tendance ou ce don ni à ne pas l'avoir.Et quelqu'un qui connaît la foi,qui ressens la Présence de son dieu ne peut pas plus expliquer,enfin pas vraiment,ce que c'est à un athée,pas + qu'on ne pourrait décrire précisément ce qu'est une expèrience sexuelle à une personne qui n'en a jamais vécu lol Il faut èprouver,faire l'expèrience pour vraiment comprendre.
Ce que beaucoup de gens ont du mal à comprendre,c'est pourquoi beaucoup de personnes croyantes ont peur de la mort,tandis que beaucoup d'ahées-ou tout simplement agnostique-n'en ont aucune crainte.On se dit:"Mais c'est contradictoire!Quelqu'un qui a la foi devrait être en confiance,avoir hâte même de rencontrer enfin son dieu,tandis que quelqu'un qui ne croit pas devrait être effrayé à l'idée de perdre les plaisirs de la vie,de ne plus jamais voir,entendre,goûter,aimer..." Tout s'explique pourtant: Même un être très croyant a souvent,tout au fond de lui,au moins une parcelle de doute,car qui a la science infuse?...Et un doute peut être redoutable,ainsi que l'espoir,et là il y a les deux.D'ailleurs au moment de la mort,il n'est pas rare que la croyant soit littèrallement terrifié.Soit il a peur de sombrer finalement dans le néant(et cette idée l'horrifie parce-qu'il aspire tans à un monde meilleur dans lequel il pourra continuer à èprouver,penser...),soit il craint d'aller en enfer,au purgatoire ou d'avoir un mauvais karma(seulement sa religion),parce-que qui ne s'est jamais mal comporté?... Mais un athée(celui qui l'est vraiment)est convaincu qu'il n'y a rien après la mort:le néant,le sommeil eternel.Puisque pour lui la question ne se pose pas,qu'il n'a ni doute ni espoir,que c'est inévitable,pourquoi avoir peur?Beaucoup se disent:"Je n'ètais pas malheureux avant ma naissance,je ne le serai pas davantage après ma mort.Et puis une partie de moi continuera à exister au travers de mes enfants,et,si je n'en ai pas,dans la mémoire de ceux qui m'aiment." Un agnostique n'a pas tellement de crainte non plus,puisqu'il n'a pas d'opinion tranchée et que ça lui importe peu. Tout ceci n'est pourtant pas systématique:il existe des croyants qui n'ont pas peur de la mort,ni durant leur vie,ni à l'instant de celle-ci,tans leur foi est profonde;elle est alors certitude,et s'il y a un doute,il est tellement minuscule qu'il n'est pas une gêne.Ces gens évoquent sereinement leur future mort,comme une renaissance.Il arrive qu'ils dècèdent le sourire aux lèvres,en paix. Tout comme il existe des athées et agnostiques qui vivent mal l'idée du néant,ne veulent pas cesser d'exister,d'ETRE,de jouir des plaisirs de la vie.Ceux-ci peuvent avoir peur.Hé,oui... Comme quoi le tout n'est pas de croire ou non-vis-à-vis la mort-le tout est de bien le vivre. Et,comme expliqué plus haut,combien de revirements,de part et d'autre,au moment suprême...
Oui c'est juste^^J'imagine qu'on peu avoir peur de la mort en général(de celle de nos proches plus que de la nôtre même;on peu ne pas craindre la mort pour nous-mêmes,mais peur que ceux que nous aimons partent avant nous.Dans ce cas-là,ce peut être en partie une peur de la souffrance,du vide pour nous-même),ou surtout de notre propre mort,parce-que nous voulons vivre et éprouver,encore et encore,ou que nous avons des projets,ou que nous ne voulons pas que les nôtres souffrent.Et...oui,peur de ce qu'il y a après la mort(éventuellement néant,possibilité de devenir une âme en peine,etc...peur de l'inconnu,ou peur de ne plus être) Une personne connue-je ne sais plus laquelle-a dit:"Raisonnablement,on ne devrait pas avoir peur de la mort;soit on ira dans un autre monde,soit on n'existera plus et alors on ne le saura jamais.Dans un cas comme dans l'autre,il n'y a pas lieu d'avoir peur".Oui,c'est très juste...mais tout le monde n'arrive pas à être aussi raisonnable.La logique et l'instinct ne font pas toujours bon ménage^^la première ne parvient pas toujours à surpasser le second.
Je crois que ce qui nous effraie le plus dans la mort. Ce n'est pas tant mourir mais être dans l'impossibilité d'accomplir ce qu'on est venu faire ici. VIVRE.
Personnellement,à un moment donné je ne craignais absolument pas la mort,ayant une absolue certitude d'une vie après la mort-je lisais beaucoup de témoignages de personnes ayant vécu l'expèrience de la frontière de la mort(bon je sais que pour ça les avis sont partagés,mais moi j'y crois,d'autant plus que ça ressemble à mes propres expériences de voyage astral).Peut-être même que je ne la craignais pas assez... Et puis,j'ai fait connaissance avec quelqu'un d'agnostique(il n'y a aucun mal,mais j'ètais fragile à ce moment-là)qui voulait absolument me faire partager son point de vue.Comme il avait une grande influence sur moi,j'ai dévelloppé une peur panique de la mort,une terreur qui ressemblait à une phobie,même.C'est bien simple,j'ètais terrorisée à l'idée du néant,du"non-être".Loin de me stimuler,de me donner envie de vivre l'instant plus intensément,la seule et unique chose que je voyais désormais derrière chaque visage,chaque arbre,chaque brin d'herbe même...c'était la mort.Le ciel était comme moins bleu,l'herbe moins verte.Tous les matins,quant je m'èveillais,je pensais:"Un soir je m'endormirai,et je ne me réveillerai plus jamais"Je ne pouvais pas m'y faire,et rien ne pouvait m'apaiser. Puis ça m'est passé.A vrai dire j'ai retrouvé ma foi toute entière.Je sais que le moment venu,je n'aurai pas peur ou très peu-je le sais parce-que j'ai cru mourir plusieurs fois.Evidemment,je sais qu'il y a la possibilité-bien qu'improbable à mes yeux-qu'il n'y ai "rien"et que,si je suis consciente,je me poserai la question,mais je n'en suis plus effayée. Ce qui ne doit pas nous empêcher de goûter pleinement à toutes les joies de la vie,en savourant chaque instant,seconde après seconde.C'est aussi à nous-que nous soyons croyants ou non-de faire de l'instant une part d'eternité.La vie peut être un paradis ou un enfer,ça dépend aussi ce qu'on en fait.
Oui, c'est vrai. Et ce que reprochent le plus les athées et les agnostiques aux croyants de tout bord, c'est de vivre dans l'espoir(et espoir=angoisse, quelque part) d'un monde meilleur, ce qui peut les empêcher de savourer l'"ici et maintenant"...je reconnais que leurs arguments ne manquent pas de bon sens: il il y en effet des croyants qui vivent davantage dans leur "future vie"que dans cette vie-ci, et font moins d'efforts pour être heureux dans notre monde que des athées qui, bien convaincus que leur existence prendra fin après, vivent davantage ce qu'ils ont à vivre...ils ont à peu près la même critique envers ceux qui croient en la réincarnation, lesquels peuvent se dire: "Qu'importe si je n'accomplis pas telle ou telle chose dans ma vie actuelle, je me rattrapperai dans une autre". Cela dit, tous les croyants ne fonctionnent pas ainsi. Je sais qu'à certains moments de ma vie, je suis tombée dans ce travers, mais c'est le passé lol on peut croire en l'après-vie, la réincarnation ou la résurection, selon le culte que nous choisissons, et pourtant ne laisser passer aucune opportunité, jouir de l'instant, essayer d'aller aux bouts de nos joies, de nos projets...bref être immortel avant tout dans l'instant. Oui, c'est toujours une erreur de faire des généralités. D'ailleurs, la plupart des gens ayant vécu l'expèrience de l'"entre-deux mondes", bref la frontière de la mort, en reviennent pleins de joie de vivre, avec l'envie d'apprendre, d'apprendre...et de croquer leur vie terrestre à pleines dents!...Le fait que le doute leur ai été enlevé ne les empêche pas d'habiter l'instant, bien au contraire. Comme quoi...
Beaucoup de gens se disent athées-et même le croient sincèrement-et ne le sont pas tans que ça...beaucoup s'ècrient instinctivement: "Oh, mon Dieu!" à tel ou tel propos lol et combien, dans un moment de détresse-par exemple liée à la maladie d'un proche-se tournent vers le Dieu de leur enfance, le prient?...La croyance reste au fond de leur inconscient. Ce n'est bien sûr pas le cas de tous, mais c'est courant. J'en ai mille exemples autour de moi. Mon copain actuel par exemple se dit 100% athée, et cependant-outre le fait qu'il s'exclame justement "mon Dieu" assez souvent-il croit au destin, à la predestination, et même en l'astrologie et la numérologie, même s'il n'emploie pas ces mots. Il voit des coïncidences (et il est important de noter qu'il ne croient pas plus au hazard que moi) partout. Il pense que toutes les personnes que nous croisons, tous les èvènements qui nous arrivent ont été voulus, que tout est predestiné et fait partie d'un tout. Dans le fond, ces idées ne sont pas tellement différentes de ma foi personnelle. Comme quoi^^
lol dire que j'ai posté mon dernier message le 11 septembre, c'ètait pourtant involontaire... Je m'explique: Mon copain, qui se dit parfaitement athée (ainsi je ne dèborde pas du sujet de ce topic), croit donc en la numérologie^^il est convaincu que tous les gens sont prédestinés à certaines actions, et à rencontrer certaines personnes: il croit donc en la predestination. Et le fait que tel ou tel chiffre est associé à telle personne, qu'il s'agisse de numéro associé à notre date de naissance, aux chiffres en numérologie de nos lettres de prénoms, de numéros de maisons, d'appartements, de plaques numéralogiques, etc etc n'est pas le fruit du hazard, d'ailleurs il ne croit pas du tout au hazard (pas plus que moi d'ailleurs) Il est notamment très impressionné par le chiffre 11; il dit que c'est un chiffre plutôt negatif, dans le sens où il revient historiquement depuis la nuit des temps, par exemple le roi Louis 11. Il finit toujours par citer le 11 septembre aussi (mais ce n'est qu'un exemple parmi tans d'autres!). Il a même été inquiet vis-à-vis de moi, parce-que je suis née un 22 novembre 74. Il fait le raisonnement suivant: un 2, c'est 1+1, donc dans 22 il y a déjà deux 11; cela associé au fait que novembre, c'est un 11aussi. Et 74 (c'est-à-dire 7+2), c'est un quatrième 11¨¨"Il n'y a que des 11, m'a-t-il dit. C'est effrayant. " Cela + le fait qu'en numérologie, moi c'est le 1^^d'après lui je suis née sous une singulière ètoile, et le fait n'est pas sans vraissemblance...il dit aussi qu'étant lui-même plutôt "différent"-il l'est tout antant que moi lol-nous étions destinés à nous rencontrer; et tout cela n'a rien d'improbable^^ Et il y a le fait que mon vrai nom est Blandine Lavez(on ne pronoce pas forcément le z), et que la grande pretresse de l'Eglise de Satan se nomme Blanche LaVey. Même lui trouve ça troublant hihi Anecdote à part, les athéisme peut donc être tout relatif (d'ailleurs TOUT n'est-il pas relatif?)
Beaucoup de gens se disent athées-et même le croient sincèrement-et ne le sont pas tans que ça...
En fait, il est possible de distinguer sans se méprendre entre trois sortes de pratiques de l’athéisme. Or ce qui fait cruellement défaut durant l'expression écrite (principalement celle du langage par mots) sont des termes, des outils des processus incluant la relativité ... entre tout, rien et quelque chose (de la Machine Humaine)
A.) L'athée de raison identifié au langage par mots fait des alphabet et des dictionnaires des cimetières de la pensée tant qu'il ne réalise pas en lui-même qu'un rayon de soleil vaut toutes les bibliothèque du monde.
B.) L'athée convivial tel Lao Tseu ou Bouddha. Le bouddhisme est à la fois un athéisme, une philosophie, une sagesse, une religion, un clergé qui s'engage et engage son monde dans les processus de maintien réciproque.
C.) L'athée de salon est celui qui se prend pour Dieu. L'athée est ici celui qui intervient dans l'unique but de polémiquer donc de s'engager et engager tout son monde dans des processus de destruction mutuelle.
Le chapitre 4 du Tao te king contient la plus ancienne définition à ma connaissance de l'athéisme et de sa théorie indissociable aux notions de yin et de yang.
Si la religion est ce qui crée des liens entre les choses et les êtres humains alors la convivialité est un athéisme équilibré relativement respectueux des croyances des uns et des autres.
Si l'athée tient compte du sens des mots qu'il emploie le terme athée signifie aussi que l'on peut oser une convivialité autonome, durable, observable, respectueuse et évolutive, sans être obligé de manger, de boire, de respirer, d'observer ou de voir par coeur (soi-disant).
Le nombre Onze est un nombre premier. Une des caractérisitiques des nombres premiers est de produire par son inverse une série décimale périodique.
L'inverse du nombre Onze génère la table du nombre Neuf.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] A suivre...
Amicalement Bien à toi et à tous Bons débats conviviaux souriante journée
Merci pour toutes ces infos L'Olivier, c'est passionnant
Je suis heureuse que tu parles du chiffre 11, c'est un chiffre qui m'a marqué toute ma vie, et encore récemment...je ne suis d'ailleurs pas la seule. Je comptais justement poster à ce propos dans un autre topic-je le ferai dès ce soir^^-il y a des synchronicités vraiment étranges.
Oups lol merci beaucoup à Solasido alors, un petit moment d'inattention^^hé bien ça veux dire que le forum peux redevenir plus actif, tans mieux.
Bonjour Stana et à tous
Tout le plaisir est pour moi redoublé car partagé. Dans une semaine des contraintes d'édition auront disparue
Patience, si effectivement il y a une voie véritable avec l'athéisme, que nous ne pouvons pas traiter dans un seul article mais en entrevoir plusieurs qui nous permettent de ne plus tirer notre énergie à partir des mots mais de la vibration ou des vibrations qui les soutenant.
La distinctation entre art objectif et art subectif repose sur le contenu numérique
Comme vivre est un art nous sommes tous des artistes objectifs ou subjectifs. La parole juste est résulte aussi du fait que le grand art des humains est celui des conteurs (ce que l'intuition raconte) qui ne se laissent plus parasiter par leurs propres saboteurs de beauté intérieure.
C'est une autre histoire à reprendre plus tard, un peu comme ce qui suit : La valeur en numérologie taosophique pour le mot stana renvoie à l'hexagramme n°11 signifiant, la paix, la concorde, l'accord que ne contredit aucun désaccord
Donc Stana
valeur numérique 55 Echelle chromatique [do/do#ré/mi/fa] Trigramme 986 .................9 ==> ESFP Guide le chagrin .................8 ==> ENFP Implique l''amour divin (Aime Erre Veille) .................6 ==> ENTJ Invente le promoteur Hexagramme 979666 Numéro 11 Nom : la paix, l'accord, la concorde, (pas s'y fier, pacifier)
Il s'agit de la paix rieuse ou pas concorde d'abord vient la transformaiton ======> 9 puis vient la transmutation =========> 8 puis vient la transfiguration ========> 6
Ensuite et seulement ensuite le coeur est en paix au coeur de toute paix
Hexagramme observé n° 11 la paix Hexagramme transformant n° 13 la communauté Hexagramme résultant n°7 l mobilisation
Or 11*13*7 = 1001 Vraiment toutes ces correspondances relève d'un équilibre difficile à maintenir défi pour l'intelligence ordinaire des choses de l'entretien infini du quotidien où l'écho ainsi danse avec l'écho pieds collés comme avec l'écho loque à taire.
Amicalment Bien à toi, à chacun et à tous Souriante journée
Selon les interventions précédentes chacun peut observer qu'il y a plusieurs sortes ou niveaux dans l'athéisme, dont l'athéisme de raison, l'athéisme de salon et l'athéisme de convivialité.
L'athée de raison et l'athée de salon recherchent la vérité qui les dissout dans le temps si bien qu'ils ne rencontrent que l'intolérance.
Malheureux y sont les résistants.
En s'identifiant aux mots ils ne prennent pas compte des abus de langage qui dès lors les engage dans toutes les sortes d'abus.
Par exemple quand ils disent, j'ai faim, j'ai soif, j'ai peur, j'ai la fièvre, je suis fatigué etc... ils sont persuadé que c'est le pronom personnel et non pas le corps physique qui a faim, soif, peur, la fièvre ou qui est fatigué. Signe d'une méconnaissance de leur propre Machine Humaine.
L'athée de raison ou de salon se considère comme des concepts mais non pas comme des Machines Humaines à connaitre du dedans.
Spoiler:
Les églises sont chronologiquement apparues après le taoïsme qui est un des athéismes qui ne tire pas son énergie à partir des mots. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Des informations demandent une plus grande précision. le sujet est si vaste qu'il ne tient pas dans un seul message, mais peut être que celui-ci répond à un questionnement général sur les bases et les origines observables de l'athéisme occidental ou orieantal.
Intolérés y sont les tolérants
Comme la plupart des "pseudo" scientifiques, ils feignent d'ignorer que les choses ont un dedans. Leur incompréhension est donc volontaire, tant qu'il s'agit pour eux de croire à l'athéisme et tant que cette croyance leur fait apparaître tout le reste comme secondaire.
Déjà une idée de hiérarchie pointe, mais ce qu'il convient de noter est que l'athéisme de raison comme l'athéisme de salon apparaissent avec les alphabets qui intériorisent les attributs de la divinité.
Lao Tseu est le premier des athées conviviaux à avoir exprimé et rédigé les principes de l'athéisme dans le chapitre 4 du tao te king.
Heureux y sont les sensibles
Le terme convivialité représente l'idéal de l’athéisme oriental ou la gentillesse demeure une forme de respect de soi qui permet le respect mutuel en tant que processus de maintien réciproque du tout, de tout, de tous, de chaque chose et ensemble vivant.
Le taoïsme est une vision orientale de l'athéisme car l'athéisme n'a pas de frontières autres que celles des langues, des langages et des métalangages.
Bien à chacun et à tous Débats conviviaux Souriante journée
1° Écarter TOUT ce que l'on tient pour vrai par croyance.
2° Une fois qu'on a peu ou prou réussi à tout balayer, se mettre en posture d'observateur neutre (autant que possible)
3° Voir ce qui en ressort.
Un risque : c'est que, une fois écartées toutes les anciennes croyances, l'esprit s'en fabrique une nouvelle qu'il tient pou Vérité.
Il pourrait donc sembler juste de dire "la réponse est dans la question".
OK avec ce qui précède
"Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde." (Albert Camus)
Définissons peu à peu nos termes.
Croire concerne ce qui n'est pas expérimenté Comprendre concerne ce qui est expérimenté donc la Foi résulte de la compréhension mais non pas de la croyance
La croyance dépend de l'objet de la croyance.
Par exemple l'athéisme est la croyance de l'athée.
Bien à toi, à chacun et à tous Bons débats Souriante journée
L'athée croit en l'incroyance Ce qui est un non sens parfait. Il n'arrive pas a dissocier le fait de croire avec le fait d'être un peu bêbête. Comme ils ne veulent absolument pas se dévaloriser à leurs propre yeux, ils ne veulent pas "croire" comme le ferait un crétin à genoux devant une idole. Sauf que ... être crédule n'est pas être crétin Pour croire en quelque chose qu'on ne comprend pas .... Il faut y croire sans pour autant être capable de le vérifier de par soi même, dans un premier temps. Ensuite la vie se charge bien de montrer si c'est vrai ou non.
Toutes les grandes découvertes se sont faites "par hasard" ou sur la base d'une intuition ...
L'athée croit à l'athéisme et qu'il le veuille ou non c'est un croyant comme les autres. Cependant il existe un athéisme authentique défini dans le tao te king et il existe un athéisme qui joue les martyrs que l'on devrai renommer nouveau occidentalisme.
Le triade en serait
A.) Athéisme de raison B.) Nouveau Occidentalisme C.) Athéisme de salon
Le nouvel occidentalisme est un dogme de la liberté matérielle une liberté subjective particulière, formelle, dont la mission est de se libérer des contraines biologiques, sexuelles, ethniques durant la tentative d'associer les idées.
L' occidentalisme nouveau mesure latente une attente hâtive.
Pour passer à un athésime authentique, l'athée se doit d'intéger les conséquences$ de ses observations selon laquelle Dieu crée de toute pièces par la conscience magique de l'humanité au lieu d'être la cause de l'univers e était la conséquence et l'apothéose.
La taosophie exprime sont point de vue (pourquoi et coment vivre l'unité) via la conjecture de Syracuse redécouverte au siècle dernier. Pour la grammaire du tao yin est pair et vaut 2 tandis que yang est impair e vaut 3.
Pour revenir au thème initialement abordé, il est clair que par définition l'athée croit à l'athéisme et de ce fait indéniable, l'athée demeure un croyant comme un autre.
En aucun cas l'athée de raison démontre qu'il a étudié, appris la langue, le langage de l'athéisme, au-delà du langage par mots.
L'athée de raison estime qu'il existe de nombreuses "religions", mais n'estime pas qu'il existe de nombreux degrés dans l'athéisme.
Jusqu'à preuve du contraire le langage par formes est objectivement le langage de l'athéisme. L'ignorance de ce langage place l'athéisme de raison comme un analphabète de l'athéisme.
L'illettrisme concerne celui qui ne sait ni lire, ni écrire.
Quoi d'étonnant s'il existe un illettrisme de l'athéisme ?
c'est le cas des abus de langage de ceux qui considèrent que les mots sont fait pour être crus plutôt que pour être compris.
Dans la plupart des cas l'utilisation courante (habituelle) du terme religion mène aux abus de langage et les abus de langage mène à toutes les sortes d'abus.
Chacun peut trouver dans les dictionnaires étymologiques que le terme religion vient du terme Religare lequel se décompose en deux composants : 1.) RE signifie Chose 2.) Ligare signifie Lier.
Le terme religion désigne la création d'un lien avec une chose et pose donc la question de ce qu'est une chose c'est à dire quelle est la qualité d'une chose. C'est à dire qu'elle sa choséité ?
Or la traduction vers le latin pour le terme chose est Re donc le terme réalité correspond au terme choséité et concerne la qualité d'une chose.
En aucun cas il est question de divinité, ou de l'existence ou de la non existence d'un divinité. Lorsque l'on parle d'une chose publique cela n'implique pas que l'on parle d'une divinité. Par exemple le mot Re-publique signifie chose publique.
Le terme religion relève d'un abus de langage surtout lorsque ce terme est utilisé au pluriel.
Jusqu'à preuve du contraire le langage par formes est par excellence celui de l'athéisme convivial.
Etudier pendant des dizaines d'années les croyances ne signifie nullement étudier l'athéisme durant des dizaines d'années.
Pour le moment l'athée de raison ne sait pas qu'il ne sait pas qu'il devient ce qu'il combat c'est à dire un croyant comme un autre trompé par ses abus de langage ignorant qu'il y a toujours ce dont on parle, ce dont on ne peut rien dire ce dont on rit ou sourit, pleure ou chante tant que les actions aident mieux que les mots.
Amicalement Bien à chacun et à tous Débats conviviaux Souriante journée
Merci pour tes très bons posts Solario, je trouve ton argumentation bien détaillée et complète^^
Un athée qui l'est à peu près à 100% refusera de toute manière tout indice pouvant lui démontrer, ou juste lui laisser entrevoir qu'il y a peut-être d'autres possibilités. Il dira que quels que soient les indices, il ne peux s'agir que d'illusion, d'hallucinations, de supercherie, de crédulité etc y compris l'approche scientifique dont j'ai parlé dans le topic traitant de mediumnité. Même si cela relève plutôt de la connaissance que de la croyance, jamais ils ne pourront y ouvrir leur esprit, parce-que leur mode de pensée ne le leur permet pas. Ils sont depuis trop longtemps convaincus qu'ils ont raison, que seul le monde matériel qui nous entoure est réél, que tout le reste relève du conte de fées pour remettre tout en question, subitement. Ils ont trouvé leur confort personnel dans cette non-croyance qui est devenue aussi aveugle qu'une croyance conservatrice classique et ne veulent pas troublé leur tranquilité d'esprit j'imagine...auraient-ils la Vérité sous les yeux qu'ils n'y croiraient pas, et aucune nouvelle découverte, aussi scientifique soit-elle, ne les fera changer d'avis.
Les athées sont de toutes sortes, mieux vaut si l'on tient à se remettre en question comprendre ceux qui sont esclaves du langage par mots via le bavardage intérieur bloquant tout dépassement de soi car les autres, pratiquants, du langage par formes ont donnée le taoïsme, le bouddhime, le zen parmi les plus célèbres des athéismes conviviaux.
Cette vidéo présente la numérologie de Pythagore sous l'angle du langage par formes que décrit la métaphysique du nombre (mathèse) dont l'origine se trouve dans le calcul mental.
Les cycles viennent de ce qui ne pouvant s'accumuler. Ils concernent l'être Ce qui peut s'accumuler possède un début et une fin. Ce qui concerne l'avoir
Il semble que le terme Athéisme et au terme Avoir ce que le terme Théisme est au terme Voir
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Les neuf termes, reliées dans les trois cases, ci-dessus représentent
les 3 ouvertures doubles et les trois ouvertures simples de la Machine humaine
L'ensemble des liens représente le nombril ou bien le nombre zéro
Cette idée est illustrée ci-dessus par une structure générant 64 syllogismes
équivalents aux 64 trigrammes ci-dessous, c'est à dire aux 64 triplets
Il semble qu'un abus de langage relève d'un double syllogisme ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]), c'est à dire une logique en cinq points.
1. Yin est Yin 2. Yang est Yang 3. Yin est dans Yang 4. Yang est dans Yin 5. Yin et Yang s'interpénètrent.
Nous avons en occident l'habitude d'une logique ternaire (Thèse, Antithèse, Synthèse) héritée des découvertes d'Aristote.
J'insiste sur ces points pour éviter les simagrées grammaticales de ceux qui feignent d'oublier qu'il y a ce dont on parle et ce dont rien ne peut être dit, que l'on soit dans son for intérieur ou dans un forum, la violence n'y demeure pas seulement un manque de vocabulaire , mais surtout un processus de destruction mutuelle que chacun expérimente sous forme d'exclusion des fora pulsionnels qui pratiquent la violence verbale tout juste comme un simple divertissement.
Le sarcasme y devient un lubrifiant social, une drogue socialitaire du mental qui permet à chaque intervenant de s'enfermer en lui-même tout en se croyant avec les autres.
L'opium du peuple n'est pas tant "la Religion" dont parlent Marx et Hengels, mais surtout le bavardage intérieur dont le sujet, le verbe, l'objet, la chose est moi, moi, moi interdisant tout dépassement de soi.
Chacun dispose à la fois d'un langage par mots et d'un langage par formes ne serait-ce que pour redoubler toutes les chances dont il a besoin pour participer l'enchantement d'un monde où vivre demeure une occupation à plein temps qui n'en laisse guère pour tout juste uniquement survivre.
Il me semble préférable, même durant les processus naturels d'assimilation par la conscience, d'avoir des idées plutôt que des mots à donner, à recevoir ou à partager que l'on intervienne ou non dans un forum.
Amicalement Bien à toi, à chacun et à tous Souriante journée