Liv Admin
| Lien: /t350-oh-mon-beau-miroir#1674Ven 15 Mai - 11:19 | |
| | | | Oh mon beau miroir
Dis-moi comment suis je si beau dans tout mon être ? Miroir, Ô mon beau miroir, dis-moi qui suis-je ? Travaillé profondément, l’excellence en jeu Mets-moi en avant dans ma volonté de n’être ?
Tu es toi. Je suis que l'image de toi-même Tu te vois toi en moi comme tu peux te voir Tu es toi, pas moi. Comment je peux y paraître ? La vision de soi en estime est soi-même
Ma beauté intérieure a ses certitudes De ma personnalité, en perfection Je me vois sans détourner de ma mission Être tout ce que je suis en mon altitude
Je te suis car je ne suis que ta conscience De toi-même, texturée pour te miroitant Comme tu es certain, nullement autrement Qu’es tu capable de voir en résilience ?
Je connais mes défauts, je contrôle l'abus Pour ne pas me dépasser sans le convenable Où je dois évoluer dans tout mon capable Être beau jusqu’en toi, mon reflet, mon reflux
En limite de ta vision de l'estime De ton image tu as l'acceptation Veux-tu vraiment te voir sans hésitation ? Alors dépasse-toi. Vois-moi sans ton sublime
Je n’y ai intérêt. Mon image me plaît Tu n’es que moi, tu ne pourras pas dépasser Mon reflet de moi-même en limite est assez Suffisant pour m’y retrouver, tu me déplais.
Que n’entends-tu ? Que je ne suis que ton reflet ? Sans plus de profondeur que ton teint, je renvoie Une image, tu retrouves où je pourvoie En l’estime dans laquelle tu te replais
Miroir, ne me cherche pas sans prétention Dans ma profondeur, tu aperçois mon image Extérieure est la limite qui surnage Que pourrais-tu voir d’autre sans attention ?
Tu me demandes, je te réponds dans mon tain Derrière le vitreux, celui que tu regardes Je me trouve réellement non par mégarde Connais-tu la profondeur de mon cristallin ?
Je n’ai besoin de paroles en vision De moi, je me suffis pour te comprendre au fond L’estime miroitant ma beauté en tréfonds Renvoie en ta limite de ma vision
Oui, ton horizon en limite du mâtin Des compréhensions décrites où vous êtes Sis dans la diffraction de mes ondelettes En ouvertures et obstacles lunettins
Que peux-tu me renvoyer d’autre que mon propre Éclairage de soi dans toute la lumière De moi à toi, tu peux sonder en puisatière Si tu creuses, tu iras en ma raison propre
Oui, je ne peux pas être autre que ta croyance En compréhension, tu vois tant de défauts La pureté de mon cristal, tu crois en faux Dans ta propre profondeur, tu es résonance
Aucun cristal n’est vraiment pur, le tien non plus Je m’estime, certain, plus juste sans mensonge Que tu me fais en me renvoyant où je plonge En l’imparfaite vision qui m’a déplu
Sans savoir, la technique optique du cristal En réfraction des angles des points de vue Tu considères en opinions prévues En toi, en moi, tu donnes du bien et du mal
Si l’un parfait est miroir de l’autre si haut L’autre est le miroir de l’un autant dévoyé La différence des images renvoyées Sera profondeur en pureté des cristaux
Je, tu seras toujours ce que je, tu crois que je, tu, suis Qui suis-je ? À part ce que tu crois être ? | | Oh mon beau miroir Dis-moi comment suis je si beau dans tout mon être ? Miroir, Ô mon beau miroir, dis-moi qui suis-je ? Travaillé profondément, l’excellence en jeu Mets-moi en avant dans ma volonté de n’être ? Tu es toi. Je suis que l'image de toi-même Tu te vois toi en moi comme tu peux te voir Tu es toi, pas moi. Comment je peux y paraître ? La vision de soi en estime est soi-même Ma beauté intérieure a ses certitudes De ma personnalité, en perfection Je me vois sans détourner de ma mission Être tout ce que je suis en mon altitude Je te suis car je ne suis que ta conscience De toi-même, texturée pour te miroitant Comme tu es certain, nullement autrement Qu’es tu capable de voir en résilience ? Je connais mes défauts, je contrôle l'abus Pour ne pas me dépasser sans le convenable Où je dois évoluer dans tout mon capable Être beau jusqu’en toi, mon reflet, mon reflux En limite de ta vision de l'estime De ton image tu as l'acceptation Veux-tu vraiment te voir sans hésitation ? Alors dépasse-toi. Vois-moi sans ton sublime Je n’y ai intérêt. Mon image me plaît Tu n’es que moi, tu ne pourras pas dépasser Mon reflet de moi-même en limite est assez Suffisant pour m’y retrouver, tu me déplais. Que n’entends-tu ? Que je ne suis que ton reflet ? Sans plus de profondeur que ton teint, je renvoie Une image, tu retrouves où je pourvoie En l’estime dans laquelle tu te replais Miroir, ne me cherche pas sans prétention Dans ma profondeur, tu aperçois mon image Extérieure est la limite qui surnage Que pourrais-tu voir d’autre sans attention ? Tu me demandes, je te réponds dans mon tain Derrière le vitreux, celui que tu regardes Je me trouve réellement non par mégarde Connais-tu la profondeur de mon cristallin ? Je n’ai besoin de paroles en vision De moi, je me suffis pour te comprendre au fond L’estime miroitant ma beauté en tréfonds Renvoie en ta limite de ma vision Oui, ton horizon en limite du mâtin Des compréhensions décrites où vous êtes Sis dans la diffraction de mes ondelettes En ouvertures et obstacles lunettins Que peux-tu me renvoyer d’autre que mon propre Éclairage de soi dans toute la lumière De moi à toi, tu peux sonder en puisatière Si tu creuses, tu iras en ma raison propre Oui, je ne peux pas être autre que ta croyance En compréhension, tu vois tant de défauts La pureté de mon cristal, tu crois en faux Dans ta propre profondeur, tu es résonance Aucun cristal n’est vraiment pur, le tien non plus Je m’estime, certain, plus juste sans mensonge Que tu me fais en me renvoyant où je plonge En l’imparfaite vision qui m’a déplu Sans savoir, la technique optique du cristal En réfraction des angles des points de vue Tu considères en opinions prévues En toi, en moi, tu donnes du bien et du mal Si l’un parfait est miroir de l’autre si haut L’autre est le miroir de l’un autant dévoyé La différence des images renvoyées Sera profondeur en pureté des cristaux Je, tu seras toujours ce que je, tu crois que je, tu, suis Qui suis-je ? À part ce que tu crois être ?
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