Avide en docus, sur la nature, torchés Je regardais celui qui montrait un porcher Laissant ses amis porcins aux mains des chercheurs Testant la vérité du mensonge empêcheur
Alimentant l'envie des ventres assouvis Ils montrent aux cochons où se situe l'envie Puis laissent les binômes hiérarchisés Se démêler leurs importances franchisées
Quelle surprise de voir celui qui envie Le chef en place berné vivement convie L'outrecuidant l'ayant emmené vers le faux Abandonnera le vrai repas aux royaux
Non sans avoir profité tant qu'il le pouvait De la bonne chair, le leurre à son chef prouvé Reprend son droit sur le cuistre qui lui mentit Dévoilé, il n'ose affronter et ne dénie
S'écarte pour laisser place à la force brute Il a menti ! Sans vergogne, évitant la lutte D'autres animaux l'ont fait aussi tout pareil Pour bien s'assurer l'existence, ils s'appareillent
L'étude menée, les chercheurs pensent possible L'existence du mensonge animal plausible Comme vecteur prédisposant un avenir Dans une existence comblée pour aboutir
"Si ce comportement est jugé négati vement par les humains, il a pourtant joué un rôle déterminant dans leur dévelop pement" Leur constat est terrible en douze pas
Le mensonge serait un acte de survie Retrouvé naturellement chez tous ceux en vie Je ne puis qu'y voir la vérité en lien Dans ma pensée, d'humain toujours mammalien
Celui qui évolue doit bannir ses mensonges Aussi sera la pleine accession au songe De se croire enfin sortis de ces vieux réflexes Surestimant trop nos personnes qui se vexent
Comprendre l'animalité naturelle Pour y retrouver tous nos fonctionnements Devenir enfin Humain à part entière
La surestime est l'affection mentale de l'Humanité
L'animale ment
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